Comment changer de vie à 50 ans ?
La première impression qui te vient en tête pour répondre à une telle question – peut-on changer de vie à 50 ans – c’est que ca va être difficile. Je ne te blâme pas. C’est une idée qui est très répandue. On a cette impression que passé 40 ans, on est bon à jeter.
Tu imagines bien ce que je vais te répondre, pas vrai ? Exactement… abandonne tes idées reçues ! Ta vie, tu peux en faire ce que tu veux. À 20, 30, 40, 50 ou 60 ans.
Comment faire ? C’est ca le plus drôle… presque toujours de la même manière !
Une introspection à la base de tout
Un changement de vie, c’est un grand chambardement. Il faut donc y réfléchir et trouver des idées qui correspondent à ce que tu es. Nous sommes d’accord, certains objectifs sont matériellement irréalisables : tu ne deviendras pas athlète de haut niveau à 50 ans.
Mais si l’on met cela de côté, rien ne t’empêche en revanche d’enfin t’autoriser à suivre ta passion. À monter ta boite. À apprendre une nouvelle langue. À partir loin.
Ce qui compte, c’est avant tout d’avoir le feu en toi. Et de bien comprendre qu’à 20 ans comme à 50 ans, la notion de risque a toujours la même valeur. Et que seule l’action définit le changement.
À 50 ans aussi on a des rêves !
Tes aspirations ne sont peut être plus les mêmes que dans ta jeunesse. Malgré tout, ton existence est toujours solide. 50 ans, c’est la moitié de ta vie certes. Ca veut aussi dire que si tu prends soin de toi, il te reste un paquet d’années pour profiter de ton évolution.
Changer de vie à 50 ans ? Ne laisse personne te dire que c’est trop tard. Quel que soit ton rêve, tu es le seul juge. Et aussi longtemps que tes artères te permettront de suivre ce désir, alors il sera accessible.
À condition de le vouloir vraiment. À condition de ne pas être parmi ces gens qui se réfugient derrière des excuses. Des peurs. Qui ne font que regarder le monde plutôt que d’y jouer un rôle. Leur rôle.
Mais avec tout ce que nous partageons tous les jours, je suis certain que ce n’est vraiment pas ton cas !
Super article, merci ! 🙂
Merci Florian pour votre retour 😉